Les Résidents qui ont besoin d’accompagnements dans les actes essentiels de la vie tels que le lever, le coucher, la toilette ou les repas, sont aidés par les professionnels de la Maison. Pour la partie soins, ces derniers sont réalisés sous la responsabilité de l’équipe de médicale (médecin et infirmier). Ces actes où la relation humaine est centrale, nécessite une approche adaptée et individualisée, propre aux principes de bientraitance.
La culture de la bientraitance est au cœur de notre approche d’accompagnement des personnes vulnérables, aussi l’ensemble des professionnels est régulièrement sensibilisé au sujet de la Bientraitance. Pouvant s’appuyer sur les travaux menés par le Département de Psychologie Clinique et Sociale et des réflexions apportées par le Comité d’Éthique d’Adef Résidences, des formations sont proposées à l’ensemble des équipes sur le sujet.
Elles peuvent également être amenées à être moteur et actrices de cette démarche en participant à des groupes de travail ou des études réunissant des profils de tout type, du soignant à l’assistance de vie, ou même des professionnels de l’administratif ou des services supports du Siège Social.
Cette démarche participative et inclusive vise à faire rayonner le plus largement possible les principes de la Bientraitance tant au sein des Établissements qu’au niveau Associatif et d’apporter des compétences et des points de vue hétérogènes sur des questions qui traitent du sujet, pour analyser et faire évoluer positivement les pratiques et l’accompagnement des Résidents, mais aussi contribuer à développer le bien-être au travail des professionnels.
En Établissement handicap, quand on fait quelque chose de bien pour la personne, on peut être convaincu de bien faire. Or, le fait de penser à la place de la personne induit justement le risque de se tromper. La démarche éthique permet de travailler à éviter cet écueil. Les personnes dépendantes étant vulnérables, cela rend nécessaire la réaffirmation et l’explicitation du respect de leurs choix. La conciliation entre autonomie et protection doit être recherchée, c’est cela déployer la démarche éthique par le questionnement dans les Maisons.
La démarche éthique peut seule aider à aller vers la juste réponse face à la confrontation entre des principes contradictoires et pourtant individuellement légitimes (principe du choix et nécessité de sécurité dans les Établissements) alors que les protocoles ne prennent pas en compte les souhaits, les désirs. Le déploiement de la démarche éthique ne fonctionne que si elle est portée par tous les professionnels, qui seuls peuvent garantir la juste réponse.
Savoir écouter et comprendre est moins évident qu’il n’y paraît. En fait, il s’agit pour chaque Résident et en toute situation de ne pas penser à sa place mais au contraire d’adopter une posture d’écoute, ce qui revient aussi à être Bientraitant.
L’organisation d’un premier colloque ayant pour thème « L’éthique au service d’une nouvelle conception des Établissements Médicaux-Sociaux » en 2018 a été une initiative publique dans l’objectif d’apporter une autre vision de ces Établissements de celle qui est actuellement répandue, et ainsi avancer vers l’élaboration de nouveaux modèles pour ces lieux qui sont des espaces de vie.
Des groupes de travail et d’analyse des pratiques sont régulièrement mis en place avec l’objectif d’être toujours plus respectueux de notre démarche éthique et bientraitante, comme celui mené sur la sémantique dans les Établissements Médico-Sociaux ou les groupes d’analyse des causes pouvant être menés sur les Établissements accompagnés d’un psychologue clinicien rattaché au Siège à la survenue d’un incident dans la structure.
Tout dépend de la situation de la personne dépendante. L’intérêt d’un hébergement temporaire est, d’une part pour le Résident de découvrir le fonctionnement de la Maison, et d’autre part pour les aidants de bénéficier d’une période de répit de quelques semaines.
Le GIR (groupe iso-ressources) correspond au niveau de perte d’autonomie d’une personne âgée. Il est calculé à partir de l’évaluation effectuée à l’aide de la grille AGGIR. Il existe six GIR : le GIR 1 est le niveau de perte d’autonomie le plus fort et le GIR 6 le plus faible.
La 1ère étape est la recherche d’un Ehpad qui convient, et d’en échanger avec la Direction. Un dossier d’admission est ensuite à remettre.
L’hébergement temporaire peut être la réponse. L’intérêt d’un hébergement temporaire est, d’une part pour le Résident de découvrir le fonctionnement de la Maison, et d’autre part pour les aidants de bénéficier d’une période de répit de quelques semaines. Il n’y a pas d’engagement au-delà. Vous pouvez vous renseigner auprès de l’Ehpad pour savoir s’il a des places en “temporaire”.
La décision relève de la personne âgée elle-même. La question lui sera posée par l’Ehpad. En cas de dégradation importante de l’état de santé, la décision de déposer un dossier peut être portée par la famille, à condition que la recherche de consentement ait été faite.
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(en Ehpad ou en structure handicap ou en établissement sanitaire)
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Tout dépend de la situation de la personne dépendante. L’intérêt d’un hébergement temporaire est, d’une part pour le Résident de découvrir le fonctionnement de la Maison, et d’autre part pour les aidants de bénéficier d’une période de répit de quelques semaines.
Le GIR (groupe iso-ressources) correspond au niveau de perte d’autonomie d’une personne âgée. Il est calculé à partir de l’évaluation effectuée à l’aide de la grille AGGIR. Il existe six GIR : le GIR 1 est le niveau de perte d’autonomie le plus fort et le GIR 6 le plus faible.
La 1ère étape est la recherche d’un Ehpad qui convient, et d’en échanger avec la Direction. Un dossier d’admission est ensuite à remettre.
L’hébergement temporaire peut être la réponse. L’intérêt d’un hébergement temporaire est, d’une part pour le Résident de découvrir le fonctionnement de la Maison, et d’autre part pour les aidants de bénéficier d’une période de répit de quelques semaines. Il n’y a pas d’engagement au-delà. Vous pouvez vous renseigner auprès de l’Ehpad pour savoir s’il a des places en “temporaire”.
La décision relève de la personne âgée elle-même. La question lui sera posée par l’Ehpad. En cas de dégradation importante de l’état de santé, la décision de déposer un dossier peut être portée par la famille, à condition que la recherche de consentement ait été faite.
